Le lendemain, nouveau déménagement. Cette fois, la chambre, quoique moins bien que la première, nous convient : tout marche correctement et rien ne sent mauvais. J’y passe d’ailleurs la journée entre tri des photos, écriture de ce carnet et match de la Coupe du Monde. Chantal, elle, part faire quelques achats du côté du Grand Bazar …
Après une nuit de trajet et quelques arrêts, le bus entre dans la gare routière d’Istanbul située à une dizaine de kilomètres du centre à 8 h 45. Comme d’habitude, je n’ai pas fermé l’œil tandis que Chantal a réussi à piquer plusieurs petits roupillons. Un monsieur sympa nous indique le chemin de la bouche de métro, …
Le petit car, parce qu’il y en a un qui vient jusqu’à Adrasan contrairement à ce que nous avait affirmé le chauffeur l’autre jour, s’arrête juste devant notre établissement et nous emmène à Antalya d’où nous prenons un second bus, plus confortable, en direction de Pamukkale, notre but. Nous y arrivons, après un ultime changement …
En route pour Antalya, le bus de la Kamilcoçs’arrête toutes les deux heures pour nous permettre d’aller aux toilettes et, malgré les boissons et biscuits servis comme dans un avion, nous restaurer dans les food-courtdevant lesquels le chauffeur stoppe son véhicule. À destination, je cherche un moyen pour rallier Adrasan. Le prix prohibitif du taxi nous oblige …
Le prix d’une location de moto à la journée n’a vraiment rien à voir avec celui pratiqué à Bali : 100 livres turques, soit 18 €, à des années-lumière du 1,50 € de Bali. La bécane elle-même n’a pas du tout, mais alors pas du tout le peps de celles d’Asie et me parait assez …