Entre Shiraz et Yazd, le bus nous fait traverser une région complètement désertique, qu’elle soit plate ou bien montagneuse. L’aridité ne laisse aucune place à la fertilité, hormis à l’approche des villes où de grosses lances à eau arrosent les champs de blé dont la couleur verte tranche radicalement avec les tons ocre plus ou …