En route pour Antalya, le bus de la Kamilcoçs’arrête toutes les deux heures pour nous permettre d’aller aux toilettes et, malgré les boissons et biscuits servis comme dans un avion, nous restaurer dans les food-courtdevant lesquels le chauffeur stoppe son véhicule. À destination, je cherche un moyen pour rallier Adrasan. Le prix prohibitif du taxi nous oblige …