Un taxi dont les portes s’ouvrent seules nous prend devant l’hôtel et nous dépose à la gare de Tokyo un quart d’heure plus tard. L’affichage en japonais des guichets nous désoriente un peu et, bien entendu, nous attendons dans la mauvaise file. Celle-ci est si lente que nous gagnons du temps, même après vingt minutes …